Avant
toute chose, j’ai une annonce à vous faire, roulement de tambour !
Cette
journée est un peu spéciale pour moi : en effet, mon blog a 6
ans aujourd’hui. Pour fêter ça, je posterai un jeu en début de
soirée (à partir de 21h).
Il
n’y a rien à gagner, juste un moment à partager dans la bonne
humeur. Tout le monde est invité et c’est entrée libre !
Venez
nombreux ! ^^
Petit
détail pratique : les autres années où j’ai organisé un
jeu de la sorte, vous avez très majoritairement donné vos réponses
sur Twitter. Si vous trouvez cela plus pratique, pourquoi pas ?
Sachez que pour l’occasion, je désactiverai la modération sur le
blog le temps du jeu, si vous préférez donner vos réponses
directement sur le blog. C’est vous qui voyez ! (Pour info,
Iza-ware sur Twitter, c’est : Iza@Dramafana
)
Je
tiens à vous remercier de me lire encore au bout de 6 ans.
A
présent, place à l’article !
Tokyo
Bandwagon
L’amour
est un pansement (qui a parfois du mal à tenir)
Titre
original: 東京バンドワゴン
Année :
2013
Réalisation,
Scénario, etc. : Mika
Omori, Shunsuke Kariyama, Shintaro Sugawara
Musiques :
Takahiro Kaneko
Durée :
10 épisodes de 46 minutes (en moyenne)
Pays :
Japon
Genre :
Comédie dramatique,
adaptation
du roman (en 8 tomes) Tokyo
Bandwagon
de
Shoji
Yukiya
Avec :
Kazuya Kamenashi = Ao Hotta
Mikako
Tabe = Suzumi Makino
Sei
Hiraizumi = Kanichi Hotta
Ganato
Hotta = Koji Tamaki
Mimura
= Aiko Hotta
Runa
Ozawa = Kayo Hotta
Nobuaki
Kaneko = Kon Hotta
Airi
Taira = Ami Hotta
Yuma
Kimino = Kento Hotta
Jonathan
Sherr = Maddock
Yoshihiko
Inohara = Naoya Fujishima
Hairi
Katagiri = Manami
Yoji
Tanaka = Ko
Mariko
Kaga = Sachi Hotta
Le
début :
L’intrigue
se déroule à Tokyo, dans le quartier de Shitamachi.
Ao
Hotta est guide touristique. Il vit dans la grande maison familiale,
qui est également une librairie spécialisée dans les livres
anciens. Quatre générations y cohabitent dans la joie, la bonne
humeur, mais aussi avec les petits – et les gros – tracas de la
vie.
Justement,
Ao ressent comme un grand vide à la place du cœur et pour
l’instant, il essaie de combler ce vide avec de l’alcool… en
attendant de le remplacer par de l’amour ?
Mes
impressions :
« Tokyo
Bandwagon » n’est autre que le nom de cette librairie.
J’adore le concept : une petite boutique de quartier dans une
rue peu fréquentée où l’on trouve des livres, plein de livres,
partout. On peut y boire un café, discuter ou lire dans un coin,
tout simplement. Mais bon, ce n’est pas le plus important, bien que
les livres occupent une place de choix…
La
petite touche d’originalité réside dans le fait que l’histoire
de la famille Hotta soit narrée par Sachi (Mariko
Kaga),
la défunte grand-mère, qui est de ce fait omniprésente, qui voit
tout et surtout, qui veille sur son petit monde et l’observe d’un
œil bienveillant, bien que cette famille ne soit pas parfaite, mais
la famille parfaite n’existe pas.
Entendons-nous,
ce ne sont pas non plus des criminels, loin de là ! C’est
juste que cette famille a des petits secrets, que le spectateur va
découvrir au fil des épisodes en même temps que les protagonistes
et ces derniers vont devoir apprendre à vivre avec. Certains
connaissent une partie de ces secrets, d’autres non. Ce drama est
donc plein de surprises.
L’arrière-grand-père,
Kanichi (Sei
Hiraizumi),
est le chef de cette joyeuse tribu. Il a eu un fils, Ganato (Koji
Tamaki).
Ganato
a eu trois enfants : Aiko (Mimura),
Kon (Nobuaki
Kaneko)
et Ao (Kazuya
Kamenashi).
Aiko
est peintre, mais elle a beaucoup de mal à vivre de cette activité.
Elle travaille donc également dans le coin café de la librairie
pour arrondir ses fins de mois. Elle élève seule sa fille Kayo
(Runa
Ozawa).
Kayo est une gentille fille, mais c’est avant tout une jeune ado,
avec tous les soucis que cela peut parfois comporter. Kayo souffre
avant tout de ne pas connaître l’identité de son père, et cela
engendre quelques frictions entre la mère et la fille.
Kon
(Nobuaki
Kaneko)
est quant à lui écrivain et, à l’instar de sa sœur, il ne gagne
pas beaucoup d’argent. Il aide également son grand-père à la
boutique. Il est marié à la charmante Ami (Airi
Taira)
avec qui il a eu un fils, Kento (Yuma
Kimino).
Ami travaille elle aussi à la boutique et aide sa belle-sœur Aiko.
A propos, suis-je la seule à trouver que Airi Taira ressemble un peu
à Kyoko
Fukada ?
Vous
le savez déjà, Ao (Kazuya
Kamenashi),
est guide touristique. Il n’a pas la même mère que ses aînés.
Je ne suis pas en train de vous spoiler, on l’apprend très vite.
Il le vit plutôt mal et est par conséquent en conflit avec son père
à cause de cela. Autre conséquence directe, c’est un jeune homme
qui a beaucoup de mal à s’engager sérieusement dans une relation.
D’ailleurs, il n’envisage même pas de se marier. Et puis, un
jour (ou plutôt, un soir!), il croise la route de Suzumi (Mikako
Tabe),
une jeune femme qui prépare une thèse et qui est passionnée par
les livres anciens. Ao commence par prendre la bonne résolution de
ne plus copiner avec l’éthanol… du moins, il va essayer. ^^
Cela
fait beaucoup de monde à vous présenter, mais quatre générations,
c’est pas rien ! Estimez-vous heureux que je ne détaille pas
les personnages secondaires ^^. Il y aurait pourtant des choses
intéressantes à dire, mais je ne vais pas tout révéler, si vous
êtes tentés par ce drama. Je vous dirai simplement que l’on
retrouve parmi eux deux seconds couteaux que j’aime beaucoup :
Hairi
Katagiri
et Yoji
Tanaka.
Ganato
ne figure pas sur la photo cette fois-ci, car il est souvent en
vadrouille ^^. C’est souvent par lui que les aventures de la
famille Hotta arrivent. Il peut débarquer n’importe quand, il a un
style excentrique, car c’est un personnage assez marginal. C’est
un rockeur, un vrai de vrai et qui a un gimmick (que Ao supporte mal…
et moi aussi, sur le long cours). En effet, il répète à qui veut
l’entendre : « Aujourd’hui, c’est LOVE ? »,
ou bien « C’est LOVE !! », ou encore
« Aujourd’hui, tu n’es pas très LOVE », etc., il met
du LOVE, LOVE, LOVE partout ! Il est comme tout le monde, il
n’est pas parfait, mais il a un côté très sympathique qui
consiste à positiver quelles que soient les circonstances et à
essayer à sa manière (LOOOOVE!!) de faire le bien autour de lui et
d’aider autrui.
Même
si l’intrigue est particulièrement centrée sur Ao, sa relation
avec son père et sa romance avec Suzumi, il s’agit bien de
l’histoire de toute la famille Hotta. Nous partons d’une photo de
groupe, pour présenter tout ce petit monde, avant d’entrer dans le
détail, en saupoudrant le tout avec quelques personnages secondaires
qui gravitent autour de la famille et qui sont impliqués dans leurs
petites histoires comme dans leurs grandes tragédies.
Tokyo
Bandwagon
est un drama qui peut parfois être émouvant. L’humeur est tantôt
au rire, tantôt à l’émotion. Que dire ? C’est la vie !
Il y a de la joie, de l’amour, des séparations, des retrouvailles,
des vieilles rancœurs, des moments de pardon, et la liste n’est
pas exhaustive.
Tokyo
Bandwagon est également une série qui
n’est pas dénuée de bons sentiments, et je trouve que c’est son
petit défaut, mais le gnan-gnan et moi on ne s’entend pas trop,
alors cette remarque est subjective. Fort heureusement, il n’y a
pas que ça et il y a plein de choses agréables à entendre et à
voir.
Le
générique de début s’intitule « Sayonara Aligato »
et est interprété par le groupe Hottake
BAND,
un groupe créé uniquement pour les besoins du drama et composé de
Kazuya
Kamenashi
et Koji
Tamaki,
qui incarnent donc respectivement les personnages de Ao et Ganato
Hotta. Koji Tamaki n’est pas n’importe qui : il fait partie
du groupe Anzen
Chitai,
qui interprète, entre autres : Suki
Sa,
une super-jolie-chanson-toute-chouette (oui, j’aime bien!) et qui a
servi de générique à Maison
Ikkoku
(Juliette,
je t’aime,
en français). A ce propos, j’ai cru reconnaître Yutaka
Takezawa,
un autre membre du groupe, dans l’épisode 1 ! J’en profite
pour dire au passage que je préfère LARGEMENT Suki
Sa
à son équivalent français. Je n’ai rien contre Bernard
Minet,
mais là, ils sont allés trop loin ce jour-là, au « Club
Do’ ». C’est un coup à traumatiser les gens, ça ! ^^
Faites le test : allez sur Tutube, écoutez Suki
Sa
par Anzen Chitai et tout de suite après, sans transition, vous
écoutez Juliette,
je t’aime
par Bernard Minet. Vous allez voir, ça va vous faire bizarre.
Le
générique de fin est quand à lui « Searchlight »,
interprété par Koji
Tamaki (SALTMODERATE),
qui est tout seul cette fois-ci.
En
conclusion :
Sans
être le drama du siècle, Tokyo
Bandwagon reste
une petite comédie dramatique familiale agréable à suivre et un
incontournable pour les fans de Kazuya Kamenashi qui, je n’ai pas
encore pris le temps de le dire, joue bien les mecs bourrés.
Et
comme l’ambiance est festive aujourd’hui, j’ai décidé de
conclure mon article avec une jolie screencap que je dédie aux
fangirls de Kazuya Kamenashi.
Attention,
mesdemoiselles : A vos marques… prêtes… KYATTEZ ! ^^
A
tout à l’heure, 21h, pour le jeu !
IZA,
le 17 avril 2017
2 commentaires:
Joyeux anniversaire à ton blog !! :D
Je ne sais pas si je vais être dispo vers 21h mais, dans le cas contraire, je participerai plus tard dans la soirée.
En tout cas, jolie critique qui suscite l'intérêt.
La série date de 2013, mais avec les décors/style, j'avais l'impression en lisant que c'était un peu plus vieux.
Encore joyeux blog-anniv !
Merci beaucoup! (^^)
Je ne savais pas trop à quelle heure placer le jeu, je me rends compte maintenant que j'aurais dû faire un petit sondage pour connaître les disponibilités de tout le monde. Tu passes quand tu peux, 'y a pas de souci!
Merci d'être fidèle à Iza-ware.
(J'ai été également un peu étonnée de voir que ce drama état relativement récent.)
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