lundi 29 août 2011

Ramegnies


La nuit européenne des chauves-souris

Prospectus
Date : le 27 août 2011

      L'année 2011 a été déclarée "Année des Forêts" par l'UNESCO. C'est l'occasion idéale pour partir à la rencontre des chauves-souris, petits animaux qui sont l'objet de croyances et d'histoires toutes plus farfelues les unes que les autres. En fait, la chauve-souris est un animal méconnu, utile, mais aussi très fragile et en voie de disparition.
       La nuit européenne de la chauve-souris a lieu tous les ans depuis 13 ans. C'est une nuit européenne, parce que l'événement a lieu le même soir dans plusieurs villes d'Europe. Nous avons suivi cet événement en Belgique, plus précisément à Ramegnies. Ci-dessous, les différents sites en Wallonie et à Bruxelles où a eu lieu cet événement:
           
Prospectus
      Je ne suis pas une passionnée de chauves-souris, mais la curiosité nous a poussés à faire cette promenade nocturne, utile et originale. La soirée se déroulait en plusieurs parties:
- Accueil du public et présentation des différents guides et spécialistes qui allaient nous accompagner toute cette soirée,
- Réponses aux premières questions du public,
- Diffusion d'un film réalisé par Frédéric Forget,
- Visite de l'extérieur du château et de son parc. C'est d'ailleurs de là que partait notre expédition nocturne, (Merci aux propriétaires du château!)
- Expédition à la rencontre des chauves-souris et retour à notre point de départ.

***

    Je n'ai pas tout retenu des explications données par les guides et je ne peux pas raconter dans le détail tout ce dont il a été question. Je vais donc me cantonner à ce qui m'a le plus marquée lors de cette sortie.
      Ce fut donc l'occasion d'en savoir un peu plus sur cette petite bestiole très utile (une chauve-souris peut manger jusqu'à 3000 insectes en une nuit... et parmi ces insectes, beaucoup de moustiques! Christian et moi envisageons de commencer un élevage de chauves-souris, LOL!!)
     En guise d'entrée en matière, le film et le jeu des questions-réponses furent vraiment intéressants. Ce fut aussi l'occasion de se débarrasser définitivement des préjugés: aucune chauve-souris ne s'est jetée sur nos cheveux et personne n'a été mordu, tout le monde va bien, merci! De même, aucune espèce ne vit dans les Carpates (^^) et il n'existe que 3 sortes de chauves-souris qui mordent véritablement leurs victimes: elles vivent en Amérique Latine et ne s'intéressent qu'au bétail et aux animaux sauvages. Elles pratiquent une toute petite incision sur la bête et lèchent un peu de leur sang. Ben... 'faut bien qu'elles mangent aussi, hein!
   Les chauves-souris ont beaucoup de prédateurs... à commencer par l'homme. Cependant, chacun peut faire un petit quelque chose, comme planter des haies d'aubépines ou laisser des arbres morts dans les jardins (Elles se réfugient à l'intérieur pour vivre, hiberner, se reproduire.), etc. Ci-dessous, un extrait d'un dépliant mis à disposition du public qui explique tout cela mieux que moi:

  
   Le parcours dans les chemins forestiers était ludique: un guide faisait des petites expériences pour nous expliquer la manière dont la chauve-souris se repérait dans le noir et les appareils qui permettaient de capter les fréquences émises par les chauves-souris étaient confiés à des enfants, ravis et pas du tout effrayés. Ils étaient même bien contents d'être là!
     Je vais conclure en remerciant chaleureusement les organisateurs et les guides pour leur disponibilité. Cette sortie était gratuite et l'événement a duré pas loin de 2h30! Alors, bravo et encore merci!
       Je vous laisse avec un extrait de dépliant montrant les sortes de chauves-souris les plus communes par chez nous et leur type de vol:



IZA, le 29 août 2011

lundi 22 août 2011

Amour, Prozac et autres curiosités


par Lucia Etxebarria


Titre original: Amor, Curiosidad, Prozac y dudas
Auteur: Lucia Etxebarria
Pays: Espagne
Genre: Roman
Nombre de pages : 279
Année de première parution : 1999
N° ISBN: 978-2-264-03115-0

Le sujet :

   Cristina ("Amour"?) est barmaid au "Planeta X" et accessoirement thésarde. Elle accumule les conquêtes d'un soir et carbure à l'ecstasy.
       Rosa ("Prozac"?) est cadre sup' dans une multinationale. Elle est belle, riche, intelligente et semble donc avoir tout pour être heureuse, mais elle vit comme un robot et se shoote au Prozac.
     Ana ("autres curiosités"?) est mère au foyer dans une demeure cossue et ne semble manquer de rien. Elle sombre pourtant petit à petit dans la dépendance aux somnifères.
      Ces trois sœurs ont des caractères et des trains de vie bien différents et tout (à part leur addiction) semble les opposer, et pourtant...
   
Contenu et impressions :

      Il m'a fallu beaucoup de temps pour arriver au bout de ce roman (qui est tout de même assez court) et c'est mauvais signe chez moi. Je ne peux pas dire que j'ai détesté, mais dans le dernier tiers je me suis tout de même dit: "Mais en fait il se passe quoi, là-dedans?!". En fait, il ne se passe rien. Ou pas grand chose. Ou plutôt, il se passe plein de choses, mais ça nous avance à quoi?
      La lecture d'un résumé m'avait décidée à commencer ce roman et j'ai été assez déçue d'emblée par une scène pas très finement expliquée, une aventure d'un soir qui ne se passe pas bien. Ce qui suit cette scène est radicalement à l'opposé. En gros, il est encore question de l'acte amoureux mais cette fois, il y a tout un réseau métaphorique: finis les termes vulgaires (du moins, pour un temps!), etc. Et là, ça allait mieux. Bon, je ne suis pas prude, mais des fois c'est vraiment lourdingue. Le lecteur est prévenu: il est grandement question de contrastes et de perspectives. Le tour de force de l'auteur réside dans le fait qu'il est impossible d'aimer mais aussi de détester complètement Cristina, Rosa et Ana. Là où ça flanche un peu, c'est qu'il n'y a rien de vraiment innovant: les blessures de l'enfance qui n'ont jamais été guéries, la relation amour/haine/jalousie entre les membres d'une même fratrie, les rivalités, un parent absent, etc.
      Dans ma petite introduction, j'ai mis un point d'interrogation dans mes parenthèses, parce que le titre entier peut s'appliquer à chacune des sœurs et pas uniquement l'un des termes, mais ça, on le voit venir d'assez loin.
        A part ça, le roman se divise en un peu moins de trente chapitres. Chaque chapitre commence par une lettre de l'alphabet et s'intitule toujours sur le même modèle: "A comme Atypique", "B comme Baisse de tension", "F comme Frustrée", etc.
        Il n'y a pas beaucoup de dialogues. Chaque protagoniste est tour à tour narratrice, ce qui permet de découvrir l'histoire de leur famille sous des angles différents. Cela fait partie de ce que j'ai apprécié le plus dans ce roman. J'ajouterai, avant de conclure, que Lucia Etxebarria se rattrape bien sur la fin et livre un dernier chapitre de toute beauté.      
             
En conclusion :

       Après avoir lu deux de ses romans, (son premier roman et son roman le plus récent à ce jour), je suis sûre de ce que j'aime chez elle et de ce que je n'aime pas. Je n'aime pas les scènes crues et les termes vulgaires employés avec un peu trop de facilité à mon goût. J'aime la poésie qu'elle est capable s'insuffler dans ses romans. C'est contrasté, vous l'aurez deviné. On aime ou pas. J'ai un avis assez mitigé. Je ne pense pas que je lirai tous ses romans, mais il y en a tout de même un qui me tente bien: Beatriz et les Corps Célestes. Il a remporté un prix et j'ai lu un peu de quoi il était question. J'aimerais en savoir un peu plus... et je n'ai pas envie de rester sur un avis qui tend vers le négatif. J'ai prévu de lire d'autres romans avant, mais je me pencherai certainement dessus un de ces jours.
             
Un petit mot sur l'auteur :

     Lucia Etxebarria est née à Valence en 1966 et vit actuellement à Madrid. Elle est journaliste et écrivain. Amour, Prozac et autres curiosités est son premier roman. Elle a gagné plusieurs prix, dont le prix Nadal en 1998 pour son roman Beatriz et les Corps Célestes. Son tout premier ouvrage date de 1996: il s'agit d'une biographie de Kurt Cobain et Courtney Love.

Lucia Etxebarria


Source renseignements sur l'auteur: site Wikipedia.


IZA, le 22 août 2011

vendredi 19 août 2011

Hardelot-plage

Promenade sur la côte d'Opale

Date : le 18 août 2011

        Nous voulions voir ceci:


        La mer!

      Pourquoi Hardelot et pas un autre endroit? C'est très simple, il y a deux raisons: nous voulions aller sur la côte d'Opale et nous voulions visiter un endroit que nous ne connaissions pas. Donc, ça c'est un peu joué au hasard.
        Ce qui est surprenant, c'est le paysage. Hardelot, c'est à la fois la mer et la forêt. Nous n'avons pas eu le temps d'aller nous promener en forêt... et puis, la priorité était tout de même d'aller tremper nos orteils.
Nous garderons un excellent souvenir de cette journée.

Bonjour Madame!




IZA, le 19 août 2011

lundi 8 août 2011

Misaki Number One!!

Misaki Number One!!


Année : 2011
Réalisation, Scénario, etc. : Jun Ishio, Taro Otani,  Masahiro Mori, Michiru Egashira, Mika Umeda
Durée : 10 épisodes de 46 minutes (en moyenne)
Pays : Japon
Genre : Comédie
Adaptation du manga Misaki Number One!! de Masato Fujisaki

Avec : Karina = Misaki Tennoji
Taisuke Fujigaya = Kazuma Kujo
Hiromitsu Kitayama = Ryosuke Minato
Aya Omasa = Yui Sakurai
Tomohiro Ichikawa = Kyotaro Nagase
Takuro Ohno = Yuto Hoshida
Mais également : Naomi Zaizen = Mama
Kei Tanaka = Takeshi Mikuni
Keiko Toda = Shizue Tsuruhashi
Akira Fuse = Toshizo Tamatsukuri

Le début :

         Le "Southern Sea" organise une grosse fête pour le départ de Misaki, l'hôtesse numéro 1, qui va bientôt devenir... professeur dans un lycée.
        Ses débuts en tant que prof sont plutôt laborieux: elle arrive en retard le premier jour et sa tenue vestimentaire n'est pas tout à fait en adéquation avec ses nouvelles fonctions. Personne ne doit apprendre qu'elle a été hôtesse, cela va sans dire. Seul le Principal est au courant. Ah, j'allais oublier! Misaki est en charge de la classe 2-Z, autrement dit: la classe des cancres!

"Adieu Roppongi by Night, Dom Pérignon, strass et paillettes!" 
Mes impressions :

       Comment ça, c'est bidon? Bien sûr que ça l'est! (^^). Mais vous vous doutez bien qu'en vous installant devant ce drama, vous n'allez pas regarder une série intellectuelle. Non, non. De plus, Il faut prendre beauuuucoup de recul pour apprécier ce drama. Rien n'est crédible, à commencer par la tenue de Misaki le jour de la rentrée:

Petit jeu: où se trouve Misaki sur cette image?
      Le drama est une adaptation d'un manga de Masato Fujisaki et il semble que le drama soit une version édulcorée. Je crois savoir que Misaki intègre un lycée pour garçons, c'est un seinen, etc. Bon. J'arrête là les comparaisons, car je n'ai pas lu le manga d'origine et je n'aime pas parler de ce que je ne maîtrise pas.
      L'idée de départ est originale. En effet, il serait certainement plus logique de rencontrer une héroïne prof qui devient hôtesse suite à un accident de parcours plutôt que le contraire, mais quel en serait l'intérêt? Cela dit, 'faut voir. Ce drama est un concentré de légèreté, de bonne humeur (il y a même une petite parodie de Security Police) et de situations cocasses. Si vous cherchez autre chose, vous faites fausse route et vous allez vraiment vous faire ch***! Toujours est-il que la problématique est la suivante: Misaki va-t-elle s'adapter à sa nouvelle vie et va-t-elle parvenir à relever tous les défis que cela implique?
    Le secret de Misaki est découvert dès la première demi-heure de drama: le prof de maths est un habitué du "Southern Sea" et il la reconnaît instantanément! C'est un chic type: il promet de ne pas en parler aux collègues! Justement, en parlant des collègues, l'arrivée de Misaki émoustille les mâles de la salle des profs. Il faut dire que la longueur de sa jupe laisse peu de place à l'imagination.

"C'est pas nous qui allons nous plaindre!"
            Au début, je n'ai pas pu m'empêcher de comparer ce drama à Gokusen, dont je ne connais que la version anime, mais j'ai l'impression que Misaki Number One!! pourrait s'apparenter à un Gokusen sous acide. Peut-être que la participation de Michiru Egashira à l'écriture du scénario n'est pas étrangère à ce phénomène. Il était déjà là pour Gokusen (drama)... à moins que cela ne vienne des mangas qui se ressemblent un peu.  C'est peut-être facile de comparer les deux, mais il y a tout de même des similitudes: une prof débarque de nulle part, ses expériences passées n'ont aucun lien avec le milieu de l'enseignement, elle a beaucoup de mal à se débarrasser de ses anciennes habitudes, on lui confie une bande de têtes brûlées, elle met un point d'honneur à les motiver et elle a un secret que personne ne doit découvrir. Du coup, j'ai tout de même peur que les détracteurs de Gokusen n'aient pas trop envie de se lancer dans Misaki Number One!! Si par malheur c'est le cas, je suis désolée, ce n'était pas l'effet désiré! ^^' En tout cas, essayez quand même, j'insiste: Gokusen est une chose, Misaki Number One!! en est une autre! Je n'ai fait que mettre l'accent sur le tronc commun.

"C'est bien compris?"
       Notre protagoniste a le cul entre deux chaises (pardonnez-moi l'expression): d'une part, elle n'est plus hôtesse et Mama, la patronne, lui fait bien comprendre qu'elle ne pourra plus jamais retourner travailler au "Southern Sea". D'autre part, elle n'est pas vraiment professeur, étant donné qu'elle n'a pas le diplôme. Le bon côté des choses, c'est qu'elle comprend parfaitement ce que ressentent ses élèves, étant donné qu'elle se comportait exactement comme eux lorsqu'elle avait leur âge. Donc, c'est plus facile pour elle de les mettre dans sa poche. De même, le fait de ne plus pouvoir travailler dans son ancien Club ne l'empêche pas pour autant d'y aller en tant que cliente pour se ressourcer, écouter les bons conseils de Mama et revoir ses amis. En fait, elle peut compter sur tout le monde au "Southern Sea" et à Roppongi (où elle est connue comme le loup blanc) en cas de coup dur: tout le monde est prêt à l'aider.
           Misaki est amusante lorsqu'elle court dans tous les sens à la recherche de ses élèves qui passent la journée à errer en ville, ne se départant ni de sa bonne humeur, ni de son sourire. D'ailleurs, elle court tellement qu'elle a certainement disparu... pas parce qu'elle est loin, mais parce qu'elle a perdu 22 kilos... son poids, quoi! En tout cas, je l'admire, parce que je serais incapable de courir aussi vite avec des talons aussi hauts. Bref. L'objectif d'Emil Zatopek de Misaki est de ramener tout ce petit monde dans la salle de classe qui est tristement vide au départ. Mais elle y croit, la bougresse, et elle tanne les élèves... allant même jusqu'à les chercher à leur domicile!
        Si l'on se place du côté des élèves de la classe 2-Z, la vie se résume à ça: leurs parents ont payé les frais scolaires, alors personne ne peut les forcer à assister aux cours. Tous les profs sont des menteurs et des manipulateurs incompétents. Le lycée, c'est barbant. Conclusion: autant tuer le temps en traînant dans les cafés et en ville. De toute façon, il n'y a rien de mieux à faire et personne ne s'intéresse à eux parce qu'ils n'ont pas de bons résultats scolaires. Vous noterez au passage la belle critique du monde de l'éducation... Le malaise des lycéens de cette classe est palpable: ils ont l'air de s'ennuyer tellement ils n'ont rien à faire et ils font des tronches pas possibles. Leur changement d'attitude va s'amorcer grâce à une élève, Yui Sakurai, qui a bien remarqué que cette nouvelle prof n'était pas tout à fait comme les autres. Elle ne sait pas à quel point elle a raison!


Aya Omasa = Yui Sakurai

         Sans vouloir donner entièrement raison à ces gamins, il faut tout de même dire que ce n'est pas très motivant d'aller dans ce lycée: la salle de classe réservée aux 2-Z se trouve au fin fond d'un couloir (genre: "vous êtes tous des pestiférés et personne ne veut se mélanger avec vous"). Autre exemple: lorsqu'il y a une manifestation sportive, leur classe n'est pas inscrite aux différentes épreuves (Heureusement que Misaki insiste pour qu'ils puissent participer!) et la mégère hystérique au chignon improbable qui leur sert de Proviseur adjoint ne donne pas envie de se lever tous les matins. En plus, elle fait peur. Heureusement, le Proviseur est l'exact opposé. Ouf, sauvés! Il est sympa, compréhensif, etc., quoique un peu absent. On dirait même qu'il a un peu peur de son adjointe.


"Bien dit!"
          Une fois qu'elle aura réussi à remplir sa classe, Misaki ne sera pas pour autant au bout de ses peines. Il lui faudra motiver ses élèves, régler les soucis des uns et des autres, les persuader de participer à la vie du lycée, mais aussi de faire accepter sa classe auprès des autres... et bien sûr, il lui faudra préserver son secret du mieux qu'elle peut!
     Pour ce qui est de la partie musicale, il n'y a rien à redire sur les morceaux instrumentaux. En revanche, l'ending ("Nanika Hitotsu" par Jamosa feat. Jay'ed & Wakadanna) m'a fait éclater de rire lors de la première écoute: dans le style "tube de l'été", on peut difficilement faire mieux... ou pire, d'ailleurs. Bon, pour sa défense, je dirais qu'il est gai, entraînant... et qu'il reflète bien l'esprit du drama, en fait! L'opening ("No.1~FIRE BEAT" par Kis-My-Ft2) est un peu mou du genou, malgré quelques riffs intéressants à la gratte électrique, ce qui peut paraître paradoxal mais c'est l'impression que ça me fait. Je pense que c'est à cause des "Number Oooone" languissants et répétitifs.
           
En conclusion :
           
        J'ai eu une petite appréhension en entamant ce drama. Je ne m'attendais pas à quelque chose d'extraordinaire, mais j'ai décidé de lui donner sa chance. Il n'y a pas de suspens à vous empêcher de dormir, mais c'est à voir en cas de déprime ou si vous voulez regarder une série qui ne demande pas une réflexion intense ou alors regardez ce drama comme une récréation après un film d'horreur ET un drama triste. (Oui, les deux!)
         Etre fan de Karina (et/ou des bishos de service) est un plus si vous voulez suivre Misaki Number One!! jusqu'au bout et être sûrs d'apprécier. Sur ce... à la prochaine!






IZA, le 8 août 2011