lundi 17 avril 2017

Tokyo Bandwagon

Avant toute chose, j’ai une annonce à vous faire, roulement de tambour !
Cette journée est un peu spéciale pour moi : en effet, mon blog a 6 ans aujourd’hui. Pour fêter ça, je posterai un jeu en début de soirée (à partir de 21h).
Il n’y a rien à gagner, juste un moment à partager dans la bonne humeur. Tout le monde est invité et c’est entrée libre !
Venez nombreux ! ^^

Petit détail pratique : les autres années où j’ai organisé un jeu de la sorte, vous avez très majoritairement donné vos réponses sur Twitter. Si vous trouvez cela plus pratique, pourquoi pas ? Sachez que pour l’occasion, je désactiverai la modération sur le blog le temps du jeu, si vous préférez donner vos réponses directement sur le blog. C’est vous qui voyez ! (Pour info, Iza-ware sur Twitter, c’est : Iza@Dramafana )

Je tiens à vous remercier de me lire encore au bout de 6 ans.

A présent, place à l’article !

Tokyo Bandwagon

L’amour est un pansement (qui a parfois du mal à tenir)


Titre original: 東京バンドワゴン
Année : 2013
Réalisation, Scénario, etc. : Mika Omori, Shunsuke Kariyama, Shintaro Sugawara
Musiques : Takahiro Kaneko
Durée : 10 épisodes de 46 minutes (en moyenne)
Pays : Japon
Genre : Comédie dramatique,
adaptation du roman (en 8 tomes) Tokyo Bandwagon de Shoji Yukiya

Avec : Kazuya Kamenashi = Ao Hotta
Mikako Tabe = Suzumi Makino
Sei Hiraizumi = Kanichi Hotta
Ganato Hotta = Koji Tamaki
Mimura = Aiko Hotta
Runa Ozawa = Kayo Hotta
Nobuaki Kaneko = Kon Hotta
Airi Taira = Ami Hotta
Yuma Kimino = Kento Hotta
Jonathan Sherr = Maddock
Yoshihiko Inohara = Naoya Fujishima
Hairi Katagiri = Manami
Yoji Tanaka = Ko
Mariko Kaga = Sachi Hotta

Le début :

L’intrigue se déroule à Tokyo, dans le quartier de Shitamachi.
Ao Hotta est guide touristique. Il vit dans la grande maison familiale, qui est également une librairie spécialisée dans les livres anciens. Quatre générations y cohabitent dans la joie, la bonne humeur, mais aussi avec les petits – et les gros – tracas de la vie.
Justement, Ao ressent comme un grand vide à la place du cœur et pour l’instant, il essaie de combler ce vide avec de l’alcool… en attendant de le remplacer par de l’amour ?

Mes impressions :

« Tokyo Bandwagon » n’est autre que le nom de cette librairie. J’adore le concept : une petite boutique de quartier dans une rue peu fréquentée où l’on trouve des livres, plein de livres, partout. On peut y boire un café, discuter ou lire dans un coin, tout simplement. Mais bon, ce n’est pas le plus important, bien que les livres occupent une place de choix…


La petite touche d’originalité réside dans le fait que l’histoire de la famille Hotta soit narrée par Sachi (Mariko Kaga), la défunte grand-mère, qui est de ce fait omniprésente, qui voit tout et surtout, qui veille sur son petit monde et l’observe d’un œil bienveillant, bien que cette famille ne soit pas parfaite, mais la famille parfaite n’existe pas.
Entendons-nous, ce ne sont pas non plus des criminels, loin de là ! C’est juste que cette famille a des petits secrets, que le spectateur va découvrir au fil des épisodes en même temps que les protagonistes et ces derniers vont devoir apprendre à vivre avec. Certains connaissent une partie de ces secrets, d’autres non. Ce drama est donc plein de surprises.
L’arrière-grand-père, Kanichi (Sei Hiraizumi), est le chef de cette joyeuse tribu. Il a eu un fils, Ganato (Koji Tamaki).
Ganato a eu trois enfants : Aiko (Mimura), Kon (Nobuaki Kaneko) et Ao (Kazuya Kamenashi).
Aiko est peintre, mais elle a beaucoup de mal à vivre de cette activité. Elle travaille donc également dans le coin café de la librairie pour arrondir ses fins de mois. Elle élève seule sa fille Kayo (Runa Ozawa). Kayo est une gentille fille, mais c’est avant tout une jeune ado, avec tous les soucis que cela peut parfois comporter. Kayo souffre avant tout de ne pas connaître l’identité de son père, et cela engendre quelques frictions entre la mère et la fille.


Kon (Nobuaki Kaneko) est quant à lui écrivain et, à l’instar de sa sœur, il ne gagne pas beaucoup d’argent. Il aide également son grand-père à la boutique. Il est marié à la charmante Ami (Airi Taira) avec qui il a eu un fils, Kento (Yuma Kimino). Ami travaille elle aussi à la boutique et aide sa belle-sœur Aiko. A propos, suis-je la seule à trouver que Airi Taira ressemble un peu à Kyoko Fukada ?


Vous le savez déjà, Ao (Kazuya Kamenashi), est guide touristique. Il n’a pas la même mère que ses aînés. Je ne suis pas en train de vous spoiler, on l’apprend très vite. Il le vit plutôt mal et est par conséquent en conflit avec son père à cause de cela. Autre conséquence directe, c’est un jeune homme qui a beaucoup de mal à s’engager sérieusement dans une relation. D’ailleurs, il n’envisage même pas de se marier. Et puis, un jour (ou plutôt, un soir!), il croise la route de Suzumi (Mikako Tabe), une jeune femme qui prépare une thèse et qui est passionnée par les livres anciens. Ao commence par prendre la bonne résolution de ne plus copiner avec l’éthanol… du moins, il va essayer. ^^

  
Cela fait beaucoup de monde à vous présenter, mais quatre générations, c’est pas rien ! Estimez-vous heureux que je ne détaille pas les personnages secondaires ^^. Il y aurait pourtant des choses intéressantes à dire, mais je ne vais pas tout révéler, si vous êtes tentés par ce drama. Je vous dirai simplement que l’on retrouve parmi eux deux seconds couteaux que j’aime beaucoup : Hairi Katagiri et Yoji Tanaka.

  
Ganato ne figure pas sur la photo cette fois-ci, car il est souvent en vadrouille ^^. C’est souvent par lui que les aventures de la famille Hotta arrivent. Il peut débarquer n’importe quand, il a un style excentrique, car c’est un personnage assez marginal. C’est un rockeur, un vrai de vrai et qui a un gimmick (que Ao supporte mal… et moi aussi, sur le long cours). En effet, il répète à qui veut l’entendre : « Aujourd’hui, c’est LOVE ? », ou bien « C’est LOVE !! », ou encore « Aujourd’hui, tu n’es pas très LOVE », etc., il met du LOVE, LOVE, LOVE partout ! Il est comme tout le monde, il n’est pas parfait, mais il a un côté très sympathique qui consiste à positiver quelles que soient les circonstances et à essayer à sa manière (LOOOOVE!!) de faire le bien autour de lui et d’aider autrui.

 
Même si l’intrigue est particulièrement centrée sur Ao, sa relation avec son père et sa romance avec Suzumi, il s’agit bien de l’histoire de toute la famille Hotta. Nous partons d’une photo de groupe, pour présenter tout ce petit monde, avant d’entrer dans le détail, en saupoudrant le tout avec quelques personnages secondaires qui gravitent autour de la famille et qui sont impliqués dans leurs petites histoires comme dans leurs grandes tragédies.




Tokyo Bandwagon est un drama qui peut parfois être émouvant. L’humeur est tantôt au rire, tantôt à l’émotion. Que dire ? C’est la vie ! Il y a de la joie, de l’amour, des séparations, des retrouvailles, des vieilles rancœurs, des moments de pardon, et la liste n’est pas exhaustive.
Tokyo Bandwagon est également une série qui n’est pas dénuée de bons sentiments, et je trouve que c’est son petit défaut, mais le gnan-gnan et moi on ne s’entend pas trop, alors cette remarque est subjective. Fort heureusement, il n’y a pas que ça et il y a plein de choses agréables à entendre et à voir.
Le générique de début s’intitule « Sayonara Aligato » et est interprété par le groupe Hottake BAND, un groupe créé uniquement pour les besoins du drama et composé de Kazuya Kamenashi et Koji Tamaki, qui incarnent donc respectivement les personnages de Ao et Ganato Hotta. Koji Tamaki n’est pas n’importe qui : il fait partie du groupe Anzen Chitai, qui interprète, entre autres : Suki Sa, une super-jolie-chanson-toute-chouette (oui, j’aime bien!) et qui a servi de générique à Maison Ikkoku (Juliette, je t’aime, en français). A ce propos, j’ai cru reconnaître Yutaka Takezawa, un autre membre du groupe, dans l’épisode 1 ! J’en profite pour dire au passage que je préfère LARGEMENT Suki Sa à son équivalent français. Je n’ai rien contre Bernard Minet, mais là, ils sont allés trop loin ce jour-là, au « Club Do’ ». C’est un coup à traumatiser les gens, ça ! ^^ Faites le test : allez sur Tutube, écoutez Suki Sa par Anzen Chitai et tout de suite après, sans transition, vous écoutez Juliette, je t’aime par Bernard Minet. Vous allez voir, ça va vous faire bizarre.
Le générique de fin est quand à lui « Searchlight », interprété par Koji Tamaki (SALTMODERATE), qui est tout seul cette fois-ci.

En conclusion :

Sans être le drama du siècle, Tokyo Bandwagon reste une petite comédie dramatique familiale agréable à suivre et un incontournable pour les fans de Kazuya Kamenashi qui, je n’ai pas encore pris le temps de le dire, joue bien les mecs bourrés.




Et comme l’ambiance est festive aujourd’hui, j’ai décidé de conclure mon article avec une jolie screencap que je dédie aux fangirls de Kazuya Kamenashi.
Attention, mesdemoiselles : A vos marques… prêtes… KYATTEZ ! ^^


A tout à l’heure, 21h, pour le jeu !



IZA, le 17 avril 2017

2 commentaires:

ZGMF Balmung a dit…

Joyeux anniversaire à ton blog !! :D
Je ne sais pas si je vais être dispo vers 21h mais, dans le cas contraire, je participerai plus tard dans la soirée.

En tout cas, jolie critique qui suscite l'intérêt.
La série date de 2013, mais avec les décors/style, j'avais l'impression en lisant que c'était un peu plus vieux.

Encore joyeux blog-anniv !

Iza a dit…

Merci beaucoup! (^^)
Je ne savais pas trop à quelle heure placer le jeu, je me rends compte maintenant que j'aurais dû faire un petit sondage pour connaître les disponibilités de tout le monde. Tu passes quand tu peux, 'y a pas de souci!
Merci d'être fidèle à Iza-ware.
(J'ai été également un peu étonnée de voir que ce drama état relativement récent.)