vendredi 30 mars 2018

Simple Minds à Paris


Simple Minds à Paris

17 février 2018


Salle : Pleyel, Paris (France)

Introduction :

Oh la la. Un mois et demi que l’événement a eu lieu et je n’ai toujours rien posté dessus. Cela vous donne une idée du temps que j’ai à consacrer au blog en ce moment. Hélas. Trois fois hélas.
Le mois prochain, c’est mon bloganniv et je sais déjà que je n’aurai pas le temps de marquer le coup comme je l’ai fait l’année dernière et ça m’attriste, mais je m’égare ! Revenons à Simple Minds.
A quelques jours près, cela faisait trois ans que je ne les avais pas vus et ça m’avait manquée, parce que j’avais passé un super moment.

Le lieu :

Salle Pleyel, Paris. La grande classe. Une acoustique délirante, des sièges confortables, l’Arc de Triomphe deux rues plus loin. What else ?:D Pour l’anecdote (et pour des raisons diverses), je voulais plutôt aller les voir le 18 à Bruxelles, mais figurez-vous que les billets se sont vendus en quelques minutes – j’étais pourtant au taquet – donc il a fallu se « rabattre » sur Paris.
Du coup, avec Christian-le-retrogamer-occasionnel, nous avons endossé nos costumes de touristes (^^) et en avons profité pour visiter un peu la capitale. Nous avions du temps à tuer, car nous sommes arrivés en fin de matinée. (C’est le genre de journée qui coûte un bras, mais, voyez-vous, on ne vit qu’une fois… depuis, on se serre la ceinture, LOL!). Bref…



Il faisait beau, les amis. Génial ! Ben oui, c’est important, on avait quand même prévu de passer la majeure partie de la journée dehors !

Le décor et le concert :

Pas de grosses fioritures dans la salle en elle-même, mais un mur de LED derrière le groupe qui en jetait un max et qui nous en faisait voir de toutes les couleurs. Une animation magnifique, DE OUF comme on dit maintenant :D J’ai particulièrement aimé ce moment où l’on voyait Maman (pas la mienne, mais la Terre) comme si l’on était à bord de l’ISS et le groupe était devant, ça donnait l’impression qu’il faisaient de la musique dans l’espace, tranquilles, en dansant sur notre planète. Et ça suit tellement bien avec la majeure partie de leurs morceaux !
Le concert en lui-même était très original à la fois au niveau du fond et de la forme. En fait, je n’avais nullement prêté attention au texte sur l’affiche : « exclusive 3 part show with live interview ». Eh ouais, ça s’est déroulé comme suit : nous avions le droit à deux interviews ET à leur dernier album dans son intégralité (si, si) ET une série de morceaux plus anciens (c’est le moment où plus personne n’est assis…). De mémoire, j’en cite quelques-uns : «Waterfront », « Don’t you (forget about me) », « Someone, somewhere in summertime » et bien sûr « Alive and kicking ». Bref, on en a eu pour notre pognon.
J’aime beaucoup leur dernier album à présent, même si – et je le dis comme je le pense – je n’ai pas été super fan tout de suite (sauf pour « Magic » et « The signal and the noise » qui ont des mélodies efficaces et très accrocheuses. Comment vous expliquer ? C’est du Simple Minds de l’époque au goût du jour. Une très bonne sauce.). L’album s’intitule « Walk between worlds » et voici la pochette :


La photo est un peu déroutante : on dirait qu’ils ont utilisé une vieille photo de Jim Kerr. Même aujourd’hui, j’ai le doute. Remarquez, pourquoi pas ? Ce serait raccord avec le nom de l’album et la mire qui nous propulse à une autre époque.

Conclusion :

Une journée qui a passé trop vite – et le concert, j’en parle même pas – gros cafard le soir dans la voiture en regagnant nos pénates. Des chansons plein la tête, Paris by night pour finir. On en veut encore !






IZA, le 30 mars 2018

Aucun commentaire: