Simple
Minds
à Paris
17
février
2018
Salle :
Pleyel,
Paris
(France)
Introduction
:
Oh
la la. Un mois et demi que l’événement a eu lieu et je n’ai
toujours rien posté dessus. Cela vous donne une idée du temps que
j’ai à consacrer au blog en ce moment. Hélas. Trois fois hélas.
Le
mois prochain, c’est mon bloganniv et je sais déjà que je n’aurai
pas le temps de marquer le coup comme je l’ai fait l’année
dernière et ça m’attriste, mais je m’égare ! Revenons à
Simple Minds.
A
quelques jours près, cela faisait trois ans que je ne les avais pas
vus et ça m’avait manquée, parce que j’avais passé un super
moment.
Le
lieu :
Salle
Pleyel, Paris. La grande classe. Une acoustique délirante, des
sièges confortables, l’Arc de Triomphe deux rues plus loin. What
else ?:D Pour l’anecdote (et pour des raisons diverses), je
voulais plutôt aller les voir le 18 à Bruxelles, mais figurez-vous
que les billets se sont vendus en quelques minutes – j’étais
pourtant au taquet – donc il a fallu se « rabattre »
sur Paris.
Du
coup, avec Christian-le-retrogamer-occasionnel, nous avons endossé
nos costumes de touristes (^^) et en avons profité pour visiter un
peu la capitale. Nous avions du temps à tuer, car nous sommes
arrivés en fin de matinée. (C’est le genre de journée qui coûte
un bras, mais, voyez-vous, on ne vit qu’une fois… depuis, on se
serre la ceinture, LOL!). Bref…
Il
faisait beau, les amis. Génial ! Ben oui, c’est important, on
avait quand
même prévu
de passer la majeure
partie de la
journée dehors !
Le
décor et le concert :
Pas
de grosses fioritures dans la salle en elle-même, mais un mur de LED
derrière le groupe qui en jetait un max et qui nous en faisait voir
de toutes les couleurs. Une animation magnifique, DE
OUF comme on dit maintenant :D J’ai particulièrement aimé ce
moment où l’on voyait Maman (pas la mienne, mais la Terre) comme
si l’on était à bord de l’ISS et le groupe était devant, ça
donnait l’impression qu’il faisaient de la musique dans l’espace,
tranquilles, en dansant sur notre planète. Et ça suit tellement
bien avec la majeure partie de leurs morceaux !
Le
concert en lui-même était très original à la
fois au
niveau du
fond et de la forme.
En fait, je n’avais nullement prêté attention au texte sur
l’affiche : « exclusive 3 part show with live
interview ». Eh ouais, ça s’est
déroulé
comme suit :
nous
avions le droit à deux interviews ET à
leur dernier album dans son intégralité (si,
si)
ET une
série de morceaux plus anciens (c’est le moment où plus personne
n’est assis…).
De mémoire, j’en cite quelques-uns : «Waterfront »,
« Don’t you (forget about me) », « Someone,
somewhere in summertime » et bien sûr « Alive and
kicking ». Bref,
on en a eu pour notre pognon.
J’aime
beaucoup leur dernier album à présent, même si – et je le dis
comme je le pense – je n’ai pas été super fan tout de suite
(sauf pour « Magic » et « The signal and the
noise » qui ont des mélodies efficaces et très accrocheuses.
Comment
vous expliquer ? C’est
du Simple Minds de l’époque au goût du jour. Une très bonne
sauce.). L’album s’intitule « Walk between worlds » et
voici la pochette :
La
photo est un peu déroutante : on dirait qu’ils ont utilisé
une vieille photo de Jim
Kerr.
Même aujourd’hui, j’ai
le
doute. Remarquez,
pourquoi pas ? Ce serait raccord avec le nom de l’album et la
mire qui nous propulse à une autre époque.
Conclusion :
Une
journée qui a passé trop vite – et le concert, j’en parle même
pas – gros cafard le soir dans la voiture en regagnant nos pénates.
Des chansons plein la tête, Paris by night pour finir. On en veut
encore !
IZA,
le 30 mars 2018
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